ORCADE participe a l évaluation des dix de mise en oeuvre de la Vision Minière Africaine (VMA) adoptée en 2009 par les chefs d Etats de l Union. Constat: pas de grandes avancées. Des stratégies seront élaborées les prochains jours pour exiger la mise en œuvre de la VMA
Le secteur minier burkinabè se développe de plus en plus avec l’augmentation de projets miniers industriels. La société civile renforce aussi ses capacités organisationnelles et techniques pour mieux suivre la gouvernance du secteur minier.
Le 25 Octobre 2016, la commission d’enquête parlementaire sur la gestion des titres miniers et la responsabilité sociale des entreprises rendait publics les résultats de ses recherches. La publication de ce rapport a fait couler beaucoup d’encre et de salive au pays des Hommes intègres. Pour certains, cette enquête parlementaire n’est ni plus ni moins qu’une tentative de règlement de comptes politiques. Pour d’autres, c’est autre chose parce qu’elle sonne le glas d’une gestion calamiteuse du secteur minier au Burkina. Notre interlocuteur est de cet avis. Jonas Hien, Chargé des programmes de l’ONG ORCADE ( Organisation pour le renforcement des capacités de développement), puisque c’est de lui qu’il s’agit, dirige une ONG du secteur minier, membre du comité de pilotage de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives du Burkina (ITIE).
L’Organisation pour le renforcement des capacités et de développement (ORCADE) tient du 20 au 23 décembre 2017 à Ouagadougou, un atelier de vulgarisation des textes d’application du nouveau code minier. Il est organisé au profit des maires, des représentants des populations des communes minières, des OSC et des structures de l’Etat impliquées dans le secteur minier.